J’ai rompu avec mon mec la première semaine de fac.

Salut tout le monde. C’est la première fois que je poste ici, mais je rôde depuis un moment.

J’ai commencé la fac il y a quelques semaines. Je vais dans une grande école à environ 8 heures de chez moi. Mon bf de lycée a décidé d’aller dans un collège communautaire en ville. On a promis de faire l’interurbain. Je savais que ça ne durerait pas, mais je n’ai pas eu le courage de rompre. C’est la seule vraie relation que j’ai eue et je me sentais coupable. Je ne m’attendais pas à ce que les choses implosent aussi spectaculairement qu’elles l’ont fait.

J’ai couché avec un type au bout du couloir, la deuxième nuit ici. Nous nous sommes juste embrassés et je lui ai donné la tête, ce qui était amusant, mais je me sentais assez coupable pour m’abstenir de participer à des activités parascolaires pendant les quelques jours suivants.

Le vendredi de cette première semaine, je ne pouvais plus attendre. J’ai rencontré deux types différents de mon dortoir et on a traîné dans ma chambre. On fumait et on buvait. Quand ma colocataire est sortie, on a commencé à s’y mettre. Ils ont commencé à me peloter et à me déshabiller. L’un d’eux frottait mon clito avant même que je sache ce qui se passait. Mais bon sang, ça fait du bien. Ils m’ont poussé à genoux et je les ai fait travailler dur. Ils étaient, pour le dire gentiment, un peu plus gros que mon meilleur ami. J’ai appris que je n’ai pas de réflexe nauséeux !

On a baisé aussi. Ils m’ont baisé à tour de rôle en levrette pendant que je buvais la bite de l’autre. C’était la chose la plus salope que j’aie jamais faite, du moins jusqu’ici.

Puis on a frappé à la porte. Le mec qui m’a baisé ne l’a pas entendu, mais le mec dans ma bouche l’a entendu et m’a regardé. J’ai réalisé presque instantanément que la porte n’était pas verrouillée et que celui qui était de l’autre côté tournait la poignée.

C’était mon meilleur ami. Il a décidé de me surprendre en se montrant à l’improviste. Je crois que mes parents lui ont dit que ma chambre en Colombie Britannique n’était pas la mienne. J’avais l’estomac agité. J’étais horrifié, mais pas autant que lui. Il devint pâle comme un linge et ne put presque rien dire. Je pense qu’il a juste bégayé quelque chose comme « qu’est-ce que c’est que ce bordel ? » et qu’il a trébuché hors de la pièce et est parti presque aussi vite qu’il est venu.

Pendant ce temps, les gars qui me baisaient voulaient savoir qui c’était, si je le connaissais. Je leur ai dit non. C’était probablement juste un étudiant de première année perdu. Je ne voulais pas qu’ils arrêtent de me baiser.

Depuis, il a fait exploser mon téléphone et j’ai dû le bloquer. Il a envoyé un tas de ses amis et des gens que je croyais être mes amis sur FB et ailleurs pour me faire honte. En gros, il veut que tout le monde dans ma ville miteuse sache que je suis une grosse salope.

Je veux être clair : je me sens coupable. Je me sens aussi soulagé d’être libéré de cette relation et libre de faire ce que je veux avec qui je veux.

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